HEPTAEDIUM “How Long Shall I Suffer Here ?” (Super Djent-endo - France)
HEPTAEDIUM
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“ How Long Shall I Suffer Here ? ”
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Une nouvelle sortie d'Apathia Records
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Heptaedium, le projet “Super Djent-endo” ultra prolifique, présente son nouvel album, « How Long Shall I Suffer Here ? », le troisième en moins de trois ans.
« How Long Shall I Suffer Here ? » sortira le 6 octobre prochain via Apathia Records. |
- Artiste : Heptaedium
- Album : How Long Shall I Suffer Here ?
- Genre : Super Djent-endo
- Date de sortie : 6 Octobre 2017
- Maison de disque : Apathia Records
Heptaedium est un projet musical né en 2012 d’une fusion à la Dragon Ball Z entre un Homme et une Baguette Tradition,
qui coute
un peu plus cher qu’une Baguette « normale
», sous prétexte qu’elle est façonnée de manière traditionnelle, alors
qu’en réalités elles sont souvent cuites dans un four à soles fixes
électrique, avec des chambres de cuisson
causées par résistances, des tableaux de
commandes électroniques, et des soupapes d’évacuation de chaleur
automatisées.
Heptaedium vous fera voyager aussi bien dans l’enfer de son cerveau malade que dans le restaurant de Francky Vincent, par sa musique aux rythmes pas piqués des hannetons et aux mélodies chaloupées représentant, sur un plan métaphorique, une figure géométrique à la verticale produisant un effet panoramique modélisé par un corps noir à 5800 kelvins se nourrissant, par exemple, d’un certain nombre d’observables tel que l’énergie émise par un atome lors de répercussions à plus grande échelle d’un système déterministe a dualité variable.
Au final, la biographie d’Heptaedium ne sert à rien, mais franchement, est-ce que cela vous manque que l’on vous dise que c’est le meilleur album du groupe, ou son travail le plus abouti à ce jour ?
Heptaedium vous fera voyager aussi bien dans l’enfer de son cerveau malade que dans le restaurant de Francky Vincent, par sa musique aux rythmes pas piqués des hannetons et aux mélodies chaloupées représentant, sur un plan métaphorique, une figure géométrique à la verticale produisant un effet panoramique modélisé par un corps noir à 5800 kelvins se nourrissant, par exemple, d’un certain nombre d’observables tel que l’énergie émise par un atome lors de répercussions à plus grande échelle d’un système déterministe a dualité variable.
Au final, la biographie d’Heptaedium ne sert à rien, mais franchement, est-ce que cela vous manque que l’on vous dise que c’est le meilleur album du groupe, ou son travail le plus abouti à ce jour ?
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